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Cécile A. Holdban, L’âme a son ressac

2018-01-30T23:57:32+01:00

 

L’âme a son ressac
une cal­ligra­phie liquide
où lire le signe nu
l’impossible géométrie
des vagues

Présentation de l’auteur

Cécile A. Holdban

Hon­groise d’origine, après une enfance en France,  Cécile A. Hold­ban décide à l’adolescence de pour­suiv­re sa sco­lar­ité dans un inter­nat hon­grois, dans la cam­pagne bavaroise dont elle con­serve la nos­tal­gie. Elle com­pose à cette époque ses pre­miers poèmes en hon­grois, sa langue mater­nelle qui l’a bercée à tra­vers chants et poésies que lui con­taient sa mère et sa grand-mère.

Elle suit, pen­dant qua­tre ans, aux Langues ori­en­tales, des études de lin­guis­tique au cours desquelles elle s’initie à la civil­i­sa­tion fin­landaise et au quechua, et, surtout, entre­prend ses pre­mières tra­duc­tions du poète hon­grois Weöres Sándor.

Sen­si­ble aux arcanes de la nature, cette pas­sion­née de botanique est aus­si une grande voyageuse dans l’âme, dont les itinérances l’ont con­duite en Europe de l’Est, en Amérique du Sud et en Asie.

 

Cécile A. Holdban

En 2011, Angèle Paoli, la créa­trice du site « Terre de Femmes », pub­lie pour la pre­mière fois un de ses poèmes.

En 2012, elle pub­lie un pre­mier recueil aux édi­tions L’Échappée Belle, Ciel pas­sager, que suiv­ra un recueil de haïkus en 2013, aux édi­tions La Part Com­mune, Un nid dans les ronces.

En 2013, elle pub­lie plusieurs tra­duc­tions de Weöres Sán­dor en revue (Vari­a­tions…), et sur des sites en ligne con­sacrés à la poésie (Terre de Femmes, Poezibao…).

En 2014, elle traduit une antholo­gie de Jószef Atti­la, avec Fran­cis Combes et Georges Kas­sai, aux édi­tions Le Temps des Ceris­es, Le Men­di­ant de la beauté, ain­si qu’un recueil de textes inédits de Karinthy Frigyes aux édi­tions du Son­neur, Tous sports con­fon­dus.

Actuelle­ment, elle pré­pare un vol­ume con­sacré à Weöres Sán­dor pour la col­lec­tion de poésie « Orphée » aux édi­tions de La Dif­férence, ain­si que deux recueils de poésie, dont l’un a pour thé­ma­tique l’exil, l’arrachement au pays natal, et l’autre la vie et les écrits d’une poétesse néo-zélandaise mécon­nue du début du vingtième siè­cle, Emil­ia Wandt.

Depuis 2015, elle codirige la revue de poésie Ce qui reste.

En 2016, elle pub­lie Une robe couleur de jour/Napszín Ruhában. En juin 2016, elle reçoit le prix A. Ribot.

Elle a égale­ment pub­lié poèmes, textes et tra­duc­tions dans de nom­breuses revues (Thau­maEuropePaysages écritsLa femelle du requinTer­res de femmesRecours au poème…).

En 2017, elle pub­lie L’Été et Viens dans mon poème. Elle est récom­pen­sée par le prix Yvan Goll, qu’elle partage avec Anne Mala­prade. Le prix lui est décerné lors du fes­ti­val du Marché de la poésie le 9 juin 2017. Le 10 juin 2017, elle reçoit le prix Cal­liope du Céna­cle Européen de la Francophonie.

Autres lec­tures

Un nid dans les ronces de Cécile A.Holdban

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Cécile A. Holdban : Toucher terre

La poésie de Cécile A. Hold­ban touche à l’intime mais demeure en per­ma­nence auréolée d’une forme de mys­tère. La poète creuse l’énigme de la vie.  « Il restait une fleur/sur terre/pour l’éclairer », écrit Cécile A. […]

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