Runes& ruines, Anthologie dirigée par Maryline Bertoncini

Par |2025-09-06T07:24:05+02:00 6 septembre 2025|Catégories : Critiques, Marilyne Bertoncini|

Mary­line Bertonci­ni a choisi un très beau sujet qui a sus­cité de mul­ti­ples poèmes et illus­tra­tions. Les mots « Runes » et « Ruines » ne sont séparés que d’une seule let­tre et comme le dit la poétesse dans sa pré­face : « Les ruines por­tent en elles le mot « runes » — et avec elles la pos­si­bil­ité de les sauve­g­arder, par la poésie… ».  Se lit un grand espoir dans la « force des mots » qui pour­raient « met­tre en lumière » toutes les traces pré­cieuses sus­cep­ti­bles de résis­ter à la barbarie. 

Runes et ruines accom­pa­g­nent l’hu­man­ité aus­si bien dans sa folie destruc­trice que dans ses mer­veilles. Cer­tains poètes ont mis plutôt l’ac­cent sur « l’enfer », l’effacement, la dévas­ta­tion. « Même le soleil s’use » (Anne Soy). D’autres ten­tent de déchiffr­er plus pos­i­tive­ment la langue des runes et des ruines qui habitent aus­si bien notre monde intime que le monde extérieur. S’exprime un grand besoin de dire, de crier, de créer pour résis­ter aux saccages, à la guerre. Comme un pari de préserv­er ce qui reste à préserv­er. Ne pas capit­uler, ten­ter de saisir les nou­velles struc­tures, les nou­veaux mots, les nou­veaux rêves. S’in­scrire dans une vaste His­toire sans nier les hor­reurs mais faire encore con­fi­ance en l’hu­main que la poésie ne cesse de révéler. Ain­si, d’un temps immé­mo­r­i­al à l’avenir, en pas­sant par le présent, nous nav­iguons dans de nom­breux espaces, con­viés à une grande var­iété de sens. Cohab­itent des visions ter­ri­bles du réel et des ouver­tures qui font du bien. La parole se déchire ou con­stru­it des liens : « Tu essaies de ren­dre hab­it­able cet aujour­d’hui » (Patrick Joquel). Alors faisons « taire les oiseaux de mau­vais augure ». Retrou­vons une res­pi­ra­tion au lieu même de notre fragilité et de nos déchirures. « Qu’ici human­ité et rêves jamais ne capit­u­lent ! » (Béa­trice Pailler)

Runes & Ruines : Antholo­gie Col­lec­tif dirigée par Mar­i­lyne Bertonci­ni pour Embar­que­ment Poé­tique, 2025, 116 pages, 14 €.

Cette riche antholo­gie nous fait signe aus­si bien dans nos failles, nos mon­stru­osités qu’en tout ce qui nous grandit, nous dépasse dans la créa­tion. En par­ti­c­uli­er dans la poésie qui ne sauve pas mais donne des lueurs à nos ombres. Les mots : « L’embarquement poé­tique » sont très justes. Nous sommes absol­u­ment embar­qués et par­tie prenante de cette grande aven­ture d’éveil et de lumière.

Présentation de l’auteur

Marilyne Bertoncini

Mar­i­lyne Bertonci­ni : poète, tra­duc­trice (anglais-ital­ien), revuiste et cri­tique lit­téraire, mem­bre du comité de rédac­tion de la revue Phoenix, elle s’oc­cupe de la rubrique Musarder sur la revue ital­i­enne Le Ortique, con­sacrée aux femmes invis­i­bil­isées de la lit­téra­ture, et mène, avec Car­ole Mes­ro­bian, la revue numérique Recours au Poème, à laque­lle elle col­la­bore depuis 2013 et qu’elle dirige depuis 2016. 

Autrice d’une thèse, La Ruse d’I­sis, de la Femme dans l’oeu­vre de Jean Giono, et tit­u­laire d’un doc­tor­at, elle a été vice-prési­­dente de l’association I Fioret­ti, pour la pro­mo­tion des man­i­fes­ta­tions cul­turelles au Monastère de Saorge (06) et mem­bre du comité de rédac­tion de la Revue des Sci­ences Humaines, RSH (Lille III). Ses arti­cles, essais et poèmes sont pub­liés dans divers­es revues lit­téraires ou uni­ver­si­taires, français­es et étrangères. Par­al­lèle­ment à l’écri­t­ure, elle ani­me des ren­con­tres lit­téraires, Les Jeud­is des Mots, à Nice, ou les Ren­con­tres au Patio, avec les édi­tions PVST?, dans la périphérie du fes­ti­val Voix Vives de Sète. Elle pra­tique la pho­togra­phie et col­la­bore avec des artistes, musi­ciens et plasticiens.

Ses poèmes sont traduits en anglais, ital­ien, espag­nol, alle­mand, hébreu, ben­gali, et chinois.

 

bib­li­ogra­phie

Recueils de poèmes

La Noyée d’On­a­gawa, éd. Jacques André, févri­er 2020

Sable, pho­tos et gravures de Wan­da Mihuleac, éd. Bilingue français-alle­­mand par Eva-Maria Berg, éd. Tran­signum, mars 2019

Memo­ria viva delle pieghe, ed. bilingue, trad. de l’autrice, ed. PVST. Mars 2019

Mémoire vive des replis, texte et pho­tos de l’auteure, éd. Pourquoi viens-tu si tard – à paraître, novem­bre 2018

L’Anneau de Chill­i­da, Ate­lier du Grand Tétras, mars 2018 (man­u­scrit lau­réat du Prix Lit­téraire Naji Naa­man 2017)

Le Silence tinte comme l’angélus d’un vil­lage englouti, éd. Imprévues, mars 2017

La Dernière Oeu­vre de Phidias, suivi de L’In­ven­tion de l’ab­sence, Jacques André édi­teur, mars 2017.

Aeonde, éd. La Porte, mars 2017

La dernière œuvre de Phidias – 453ème Encres vives, avril 2016

Labyrinthe des Nuits, suite poé­tique – Recours au Poème édi­teurs, mars 2015

 

Ouvrages col­lec­tifs

- Le Courage des vivants, antholo­gie, Jacques André édi­teur, mars 2020

- Sidér­er le silence, antholo­gie sur l’exil – édi­tions Hen­ry, 5 novem­bre 2018

- L’Esprit des arbres, édi­tions « Pourquoi viens-tu si tard » — à paraître, novem­bre 2018

- L’eau entre nos doigts, Antholo­gie sur l’eau, édi­tions Hen­ry, mai 2018

- Trans-Tzara-Dada – L’Homme Approx­i­matif , 2016

- Antholo­gie du haiku en France, sous la direc­tion de Jean Antoni­ni, édi­tions Aleas, Lyon, 2003

Tra­duc­tions de recueils de poésie

-Soleil hési­tant, de Gili Haimovich, éd. Jacques André (à paraître 2021)

-Un Instant d’é­ter­nité, bilingue (traduit en ital­ien) d’Anne-Marie Zuc­chel­li, éd. PVST, 2020

- Labir­in­to delle Not­ti (ined­i­to) nom­iné au Con­cor­so Nazionale Luciano Ser­ra, Ital­ie, sep­tem­bre 2019

- Tony’s blues, de Bar­ry Wal­len­stein, avec des gravures d’Hélène Baut­tista, éd. Pourquoi viens-tu si tard ? , mars 2020

- Instan­ta­nés, d‘Eva-Maria Berg, traduit avec l’auteure, édi­tions Imprévues, 2018

- Ennu­age-moi, a bilin­gual col­lec­tion , de Car­ol Jenk­ins, tra­duc­tion Mar­i­lyne Bertonci­ni, Riv­er road Poet­ry Series, 2016

- Ear­ly in the Morn­ing, Tôt le matin, de Peter Boyle, Mar­i­lyne Bertonci­ni & alii. Recours au Poème édi­tions, 2015

- Livre des sept vies , Ming Di, Recours au Poème édi­tions, 2015

- His­toire de Famille, Ming Di, édi­tions Tran­signum, avec des illus­tra­tions de Wan­da Mihuleac, juin 2015

- Rain­bow Snake, Ser­pent Arc-en-ciel, de Mar­tin Har­ri­son Recours au Poème édi­tions, 2015

- Secan­je Svile, Mémoire de Soie, de Tan­ja Kragu­je­vic, édi­tion trilingue, Beograd 2015

- Tony’s Blues de Bar­ry Wal­len­stein, Recours au Poème édi­tions, 2014

Livres d’artistes (extraits)

Aeonde, livre unique de Mari­no Ros­set­ti, 2018

Æncre de Chine, in col­lec­tion Livres Ardois­es de Wan­da Mihuleac, 2016

Pen­sées d’Eury­dice, avec  les dessins de Pierre Rosin :  http://www.cequireste.fr/marilyne-bertoncini-pierre-rosin/

Île, livre pau­vre avec un col­lage de Ghis­laine Lejard (2016)

Pae­sine, poème , sur un col­lage de Ghis­laine Lejard (2016)

Villes en chantier, Livre unique par Anne Poupard (2015)

A Fleur d’é­tang, livre-objet avec Brigitte Marcer­ou (2015)

Genèse du lan­gage, livre unique, avec Brigitte Marcer­ou (2015)

Dae­mon Fail­ure deliv­ery, Livre d’artiste, avec les burins de Dominique Crog­nier, artiste graveuse d’Amiens – 2013.

Col­lab­o­ra­tions artis­tiques visuelles ou sonores (extraits)

- Damna­tion Memo­ri­ae, la Damna­tion de l’ou­bli, lec­­ture-per­­for­­mance mise en musique par Damien Char­ron, présen­tée le 6 mars 2020 avec le sax­o­phon­iste David di Bet­ta, à l’am­bas­sade de Roumanie, à Paris.

- Sable, per­for­mance, avec Wan­da Mihuleac, 2019 Galerie

- L’En­vers de la Riv­iera  mis en musique par le com­pos­i­teur  Man­soor Mani Hos­sei­ni, pour FESTRAD, fes­ti­val Fran­­co-anglais de poésie juin 2016 : « The Far Side of the Riv­er »

- Per­for­mance chan­tée et dan­sée « Sodade » au print­emps des poètes  Vil­la 111 à Ivry : sur un poème de Mar­i­lyne Bertonci­ni, « L’homme approx­i­matif » , décor voile peint et dess­iné,  6 x3 m par Emi­ly Walcker :

l’Envers de la Riv­iera  mis en image par la vidéaste Clé­mence Pogu – Festrad juin 2016 sous le titre « Proche Ban­lieue»

Là où trem­blent encore des ombres d’un vert ten­dre » – Toile sonore de Sophie Bras­sard : http://www.toilesonore.com/#!marilyne-bertoncini/uknyf

La Rouille du temps, poèmes et tableaux tex­tiles de Bérénice Mollet(2015) – en par­tie pub­liés sur la revue Ce qui reste : http://www.cequireste.fr/marilyne-bertoncini-berenice-mollet/

Pré­faces

Appel du large par Rome Deguer­gue, chez Alcy­one – 2016

Erra­tiques, d’ Angèle Casano­va, éd. Pourquoi viens-tu si tard, sep­tem­bre 2018

L’esprit des arbres, antholo­gie, éd. Pourquoi viens-tu si tard, novem­bre 2018

Chant de plein ciel, antholo­gie de poésie québé­coise, PVST et Recours au Poème, 2019

Une brèche dans l’eau, d’E­va-Maria Berg, éd. PVST, 2020

 

(Site : Minotaur/A, http://minotaura.unblog.fr),

(fiche biographique com­plète sur le site de la MEL : http://www.m‑e‑l.fr/marilyne-bertoncini,ec,1301 )

Autres lec­tures

Marilyne Bertoncini, Aeonde

Petit livret, grand livre. Encore une fois, après La dernière œuvre de Phidias, Mar­i­lyne Bertonci­ni fait appel à la dimen­sion mythique pour dire la con­di­tion humaine.

Les 101 Livres-ardoises de Wanda Mihuleac

Une épopée des ren­con­tres heureuses des arts Artiste inven­tive, Wan­da Mihuleac s’est pro­posé de pro­duire des livres-objets, livres d’artiste, livres-sur­prise, de manières divers­es et inédites où la poésie, le visuel, le dessin […]

Marilyne Bertoncini, Mémoire vive des replis

Un joli for­mat qui tient dans la poche pour ce livre pré­cieux dans lequel Mar­i­lyne Bertonci­ni fait dia­loguer poèmes et pho­togra­phies (les siennes) pour accueil­lir les frag­ments du passé qui affleurent dans les […]

Marilyne Bertoncini, Sable

Mar­i­lyne Bertonci­ni nous emmène vers la plage au sable fin, vers la mer et ses vagues qui dansent dans le vent pour un voy­age tout intérieur… Elle marche dans […]

Marilyne BERTONCINI, Mémoire vive des replis, Sable

Mar­i­lyne BERTONCINI – Mémoire vive des replis La poésie de Mar­i­lyne Bertonci­ni est sin­gulière, en ce qu’elle s’appuie fréquem­ment sur des choses matérielles, pour pren­dre essor, à la façon […]

Marilyne Bertoncini, La Noyée d’Onagawa

Chant du silence du fond de l’eau, celui où divague le corps de la femme de Yasuo Taka­mat­su. Flux et reflux du lan­gage devenu poème, long dis­cours sur le vide lais­sé par la […]

Marilyne Bertoncini, La noyée d’Onagawa

Cette suite poé­tique, à la con­struc­tion musi­cale, points et con­tre­points, boule­verse et inter­roge. Inspirée d’une dépêche d’AFP, elle fait osciller le lecteur entre plusieurs réal­ités, tem­po­ral­ités et espaces. Con­ti­nu­ité et rup­ture, matéri­al­ité et […]

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Jacqueline Persini

Jacque­line Persi­ni, née à Mar­seille, vit à Paris. Après avoir chem­iné longtemps dans les sen­tiers escarpés de la psy­ch­analyse, elle se con­sacre actuelle­ment à la poésie. Inscrite à la société des gens de let­tres, à la charte des auteurs et illus­tra­teurs jeunesse. Elle fait par­tie du comité de rédac­tion de la revue Poésie Pre­mière. Dans l’association « Lire Faire lire » elle ini­tie les bénév­oles à la poésie con­tem­po­raine afin que, dans les ren­con­tres avec les enfants, cohab­itent his­toires et poèmes. Dans ses livres auto­bi­ographiques (L’Harmattan, Aspect) alter­nent poèmes et pros­es poé­tiques. Des recueils de poésie ouvrent un espace imag­i­naire où cohab­itent le ludique et le grave. Avec la poésie jeunesse (Le Dé Bleu — SOC & FOC — Don­ner à voir ‑Voix Tis­sées), elle se laisse pren­dre plus encore dans des tour­bil­lons de sons et de sens où l’enfance ne se retrou­ve pas mais se réin­vente dans ses drames et ses émer­veille­ments. Ecrire, c’est s’approcher de ce que Bre­ton appelle l’infracassable noy­au de nuit mais aus­si jouer avec les vac­ille­ments de sons et de sens, inven­ter quelque luci­ole. Recueils de poèmes : — His­toire de ma mai­son ou Naître, L’Harmattan (coll. Poètes des cinq con­ti­nents), 1994. — Au devant d’elle, Encres vives (coll. Encres Blanch­es), 2006. — Danser avec la sitelle, Rougi­er V.,2010. — Petit chemin à naître, Rougi­er V, 2011. — Tard je t’ai recon­nue, Aspect, cou­ver­ture Marc Bergère, 2011. — Con­tre l’humain il est des crimes, L’Harmattan, (coll. Accent tonique-Poésie), 2011. — Cas­cades et séquoias, illus­tré des pein­tures de Pierre Del­court, édi­tions Unic­ité, 2016 — Le fileur de voyelles, avec les encres de Marc Bergère, SOC & FOC, 2017 — Nos voix comme des lam­pes, en co-écri­t­ure avec Jean-Marc Chanel, illus­tra­tions Chris­tine Val­lot, édi­tions Pip­pa, 2018. — Tous les bou­quets devi­en­nent rouges, édi­tions Unic­ité, 2019. Réédi­tion de — Ce moineau impudique, édi­tions de L’Atlantique (coll. Eros/Thanatos), 2012. — Le pla­tane, édi­tions Hen­ry, 2020 — Ce qui vient de lumière, illus­tra­tions Mat Mahlen, Plis Urgents, Rougi­er V. 2020 — Seule­ment l’envol, en co-écri­t­ure avec Gérard Mot­tet, encres de Marc Bergère, 2021, Unic­ité. Au jardin, en coécri­t­ure avec Patrick Navaï, illus­tra­tions Patrick Navaï, 2021 Dévêtir l’obscur, Col­lec­tion Jour Nuit, Les lieux-dits, 2022 Livres où alter­nent poèmes et pros­es poé­tiques : — Le Soleil aveu­gle Existe-t-il des psy­ch­an­a­lystes qui ren­dent fou, L’Harmattan (coll. Psy­ch­analyse et Civil­i­sa­tions) ‚1992. — Réédi­tion en 2015 avec ajout d’une pré­face, de ques­tions aux ana­lystes, et d’un texte sur la créa­tion. — Herbes vivantes Espace ana­ly­tique et poésie, L’Harmattan (coll. Psy­ch­analyse et Civil­i­sa­tions) 1996. Pub­li­ca­tions en revue : Arpa, Archers, Car­nava­lesques 7, Con­cer­to pour Marées et Silence, Corps puce Mille et un poète, Décharge, Don­ner à voir Frich­es, Fran­copo­lis, In-fusion, la Grande oreille, La Passe, Les cahiers de la rue Ven­tu­ra, Les Cahiers du Sens, Le Nou­v­el Athanor, Pas­sage d’encres, Phoenix, Poésie sur Seine, Poésie Pre­mière, Por­tu­lan Bleu, Pro­pos de Cam­pagne, Rose des temps, Saraswati, Ver­so. Par­tic­i­pa­tion à des antholo­gies : — Sil­lons Sil­lages, SOC & FOC, 2009. — Vis­ages de poésie, Jacques Basse, Rafaël de Sur­tis, Tome 3, 2010. — pas d’ici, pas d’ailleurs, Antholo­gie poé­tique fran­coph­o­ne de voix féminines con­tem­po­raines, Voix d’encre, 2012. — Antholo­gie poé­tique Char­li­bre : le poème du jour d’après « Ne nous lais­sons pas abat­tre », édi­tions Corps Puce, 2015. — Effrac­tion, L’Harmattan (col­lec­tif de Poètes des cinq con­ti­nents), 2015. — Liens et entrelacs, col­lec­tif de poètes, sous l’impulsion de Nicole Bar­rière, 2017. — Jardins, Don­ner à voir, 2018. ‑Oser encore, Hom­mage à Andrée Che­did, PO&PSY, 2020 ‑Oui, Terre à ciel, 2021 — Ren­con­tre avec un artiste : Marc Bergère, Terre à ciel Poésie jeunesse : — Si petits les oiseaux, illus­tré par Eve­lyne Debeire, Le Dé Bleu (coll. Le far­fadet Bleu), 2003. — Maisons à dormir debout illus­tré par Point*Point, SOC & FOC, 2005. — Qua­tre fois vite un chu­cho­tis illus­tré par Célia Chauf­frey, SOC & FOC, 2009, réédité en 2010 et en 2014. — Poèmes à queues de four­mis, illus­tra­tions de Benoît Déchelle, Don­ner à voir, 2013. — Il prend l’air petit ver ou Les aven­tures d’un ver de terre, illus­tra­tions de Dominique Debof­fle, Voix tis­sées, 2017. Con­te, théâtre : ‑Cafouil­lages dans Peau D’âne en co-écri­t­ure avec Isabelle Lelouch, illus­tra­tions de Chris­tine Val­lot, édi­tions Unic­ité, 2017 Mis en scène au Théo théâtre d’octobre à décem­bre 2017, à la Comédie Saint Michel de jan­vi­er 2018 à mai 1978, bib­lio­thèque de Rouen 2021 Antholo­gie poésie jeunesse : — Mes pre­mières comptines et autres petits poèmes, couleur livres, choix de Béa­trice Lib­ert, images de Luce Guil­baud, 2019 ‑La beauté, 2019, Cairns 24. ‑Le courage, 2020, Cairns 26.-L’enfant intem­porel, Cairns 27 Livres d’artiste : — D’abord est la mer, L3V accom­pa­g­né des pein­tures de Pierre Del­court et présen­té par MT galerie, 2013. — Cas­cades et séquoias, pein­tures de pierre Del­court, Edi­tions Ombre et Lumière- Hen­ry des Abbayes, 2019 — Con­sen­tir au jardin, illus­tra­tions Dominique Moulin, édi­tion Le moulin à lire, 2014. ‑Les cornes en rigole, illus­tra­tions de Dominique Debof­fle, Forêt Secrète Édi­tions, 2015. — Ton bateau va plus loin que toi, illus­tra­tions de Dominique Debof­fle, Forêt Secrète, Édi­tions, 2016. ‑Tu veux grandir de partout, illus­tra­tions de Dominique Debof­fle, Forêt Secrète, Édi­tions, 2016. Dossier de présen­ta­tion par Emmanuel Hiri­art dans Poésie sur Seine numéros 81/82 Mars 2013. Terre à ciel : Jacque­line Persi­ni se trou­ve dans l’annuaire de ce site de poésie con­tem­po­raine Par­tic­i­pa­tion à des expo­si­tions organ­isées par le groupe MnemoArt (Tamara&Jean-Pierre Lan­dau) : — À Milan, « Goûter le poème » dans le cat­a­logue de l’exposition « Énergie pour la vie ». — À Rome, dans l’exposition B.A.R. Beauté, art et restau­ra­tion aux Archives cen­trales d’état : « Goûter le poème » avec la per­for­mance de Tama­ra Lan­dau. YouTube : MnemoArt Per­for­mance : Claude Yvans) ‑CD avec Vingt-trois poèmes mis en musique par les musi­ciens de l’association des écrivants chanteurs du qua­torz­ième arrondissement.

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