BIBLIOGRAPHIE SÉLECTIVE illustrée
et abréviations 

 

Con­traire­ment à ce que peu­vent laiss­er croire divers­es notices, l’œuvre lit­téraire de David George reste qua­si virtuelle une décen­nie après son décès. Out­re The Fla­men­co Gui­tar (DGfg), ci-dessous men­tion­né, seul un recueil de poésie a été pub­lié, à titre posthume et à compte d’auteur par Lisa Larrabee : Things of the Sea Belong to the Sea, iUni­verse, Inc, Lin­coln, Nebras­ka, 2007 (80 poèmes). La mois­son est mai­gre en com­para­i­son avec les titres annon­cés, notam­ment et avec force détails, dans DGfg, p. 135 :

The Gyp­sy with the Green Gui­tar — A Fla­men­co Study, annon­cé comme pub­lié dès 1969, avec nom d’éditeur et imma­tric­u­la­tion à la Library of Con­gress 1[1]Il existe deux exem­plaires d’épreuves de cet ouvrage dans les doc­u­ments retrou­vés. L’un inclu­ant les orig­in­aux de 13 illus­tra­tions (dessins) par John Ful­ton. L’un relié, l’autre non. Que s’est-il passé ? Voir Le Gitan à la gui­tare vertePré­face.Nous n’avons pas réus­si à en avoir com­mu­ni­ca­tion. Le titre, enreg­istré à la BN espag­nole sous le numéro 432110970, y est attribué par erreur à David J. George, autre auteur, spé­cial­isé dans le théâtre espag­nol.) ; (DGgg )

The Andalu­cian Gyp­sy — An Inti­mate Study : « Livre con­sacré aux Gitans » ;
Fla­men­co and Gyp­sy Fla­men­co : « Orig­ine, évo­lu­tion et sig­ni­fi­ca­tion du flamenco… » ;
From the Caves of the Gyp­sy Fla­men­cos: « Recueil de nouvelles » ;
The Dark Eclipse: « Roman dont l’intrigue se situe à Almería » ;
The Red Earth : « 90 poèmes andalous » ;
One by One the Oranges Fall: « Poèmes » (([1]Voir son­net 106.
Select­ed Andalu­cian Poems…. : « Édi­tion bilingue espagnol/anglais ».

 

*

 

The Poet’s Eye… (67 titres, 125 son­nets), prévu chez Pigmy For­est Press et annon­cé dans JAM dès 1998 2[1]JAM: An Anthol­o­gy, Cedar Hill Pub­li­ca­tions, Mena, Arkansas, 1998, où fig­urent 27 son­nets autour du thème ‘Van Gogh In Arles’. Une notice passe-partout nous dit : « …Wide­ly pub­lished in Europe and America…(David George) divides his time between Sacra­men­to, Madrid and Zaragoza. »,ne dépasse pas le stade de la dacty­lo­gra­phie pen­dant près de qua­torze ans avant qu’un pro­jet de pub­li­ca­tion ne refasse éphémère­ment sur­face en 2012 grâce aux efforts de Mar­garet Fos­ter Ander­son qui se pro­po­sait de le pub­li­er à compte d’auteur, ain­si qu’une autre série de son­nets inti­t­ulés Day of Wrath, Day of Mourn­ing: The Art of War.On lit, dans sa pré­face aux poèmes fla­men­cos traduits dans ce recueil : « (David) George has writ­ten sev­er­al nov­els recent­ly : Van Gogh,My Father,Mur­der at the Crock­er, » ain­si que The Buf­fa­lo Doc­tordont la paru­tion était annon­cée pour 2003. Rien n’a paru. Et bien des pré­faces, pré­faciers ou édi­teurs cités sem­blent ne plus faire par­tie du décor. On trou­ve aus­si men­tion­nés, tout aus­si fan­toma­tiques : The Death of Dolores Moli­nos, illus­tré par John Ful­ton et The Fla­men­co Dancer, The Gyp­sy Singer, Blood and Sand. Der­rière ces titres se cache peut-être le con­tenu de cer­tains des poèmes traduits ici ou qui auraient dû paraître dans The Gyp­sy with the Green Gui­tar 3Voir Le Gitan à la gui­tare verte —Pré­face. Et aus­si son­nets 192, 193, 221.
Si ces ouvrages en prose ont dis­paru ou n’ont jamais dépassé le stade du pro­jet, il y a quelque 6000 poèmes en attente, à ce jour.

 

*

 

On apprend aus­si qu’« à la demande de la famille de Mano­li­to », David George aurait écrit « en trois jours et trois nuits sans dis­con­tin­uer » et fait tir­er à « 400 exem­plaires » une Lamen­ta­tion for Emmanuel  An Ele­gy on the Death of The Gyp­sy Fla­men­co Singer Mano­li­to María 4[1]Ils n’entrevoient le jour que 22 ans après la mort de Mano­li­to. Nous dis­posons d’un exem­plaire, 40 pages, lino­typé sur papi­er archives, cousu main, Sacra­men­to, Cal­i­fornie, Wood­en Angel Press, 1987. 200 vers env­i­ron. Intro­duc­tion de Kathryn Hol­wein. Pré­face et notes de David George. 3 illus­tra­tions plutôt naïves (D. Woodard ?). Numéro ISBN men­tion­né, non enreg­istré. Livre présen­té lors d’une con­férence de David George, le 25 avril 1987, à Sacra­men­to, sur le thème du fla­men­co, avec enreg­istrements et dia­pos­i­tives. Traduit ici sous le titre : Lamen­to.Cetteélégie à Mano­li­to, est annon­cée dans le cat­a­logue de l’exposition pho­tographique mon­tée en 2008 à par­tir de clichés retrou­vés (voir ci-dessous). Son fils écrivait alors : « Pub­li­er et dis­tribuer Lamen­ta­tion for Emmanuelsera notre tâche dans les mois qui vien­nent, grâce aux fonds recueil­lis lors de cette expo­si­tion. Si le pro­jet vousintéresse, con­tactez nous : www.portraitofandalusia.com .» Si Mano­li­to a lais­sé au moins une fille et un petit-fils (([1]Sonnets 86, 116, 177, 179 et 191. Lamen­ta­tion for Emmanuelest tou­jours dans les limbes.

 

*

 

À CONSULTER

En anglais, ouvrages disponibles sur le marché de l’occasion en ligne, originaux ou rééditions. Prix prohibitifs pour les éditions originales.


Donn E. Pohren : The Art of Fla­men­co, Madrid, Soci­ety of Span­ish Stud­ies, 1962/ West­port, Con­necti­cut, The Bold Strum­mer, 1990. Nom­breuses réédi­tions aug­men­tées. (DPaf)
David George : The Fla­men­co Gui­tar, Madrid, Soci­ety of Span­ish Stud­ies, 1969/ West­port, Con­necti­cut, The Bold Strum­mer, 2004 (([1]La page ‘Diego del Gas­tor’ du site El Arte de Vivir El Fla­men­coindique que pour le cen­te­naire de la nais­sance de Diego (2008) fut présen­té, lors d’une expo­si­tion à Morón « …Diego del Gas­tor, ouvrage de David George Vogenitz… ». Nous n’avons trace d’aucun ouvrage por­tant ce titre. (DGfg)

Les analo­gies de struc­ture entre ces deux ouvrages sont trou­blantes. Leur con­tenu tech­nique fait même dou­ble emploi. Nous n’avons pas fouil­lé cet aspect des choses et ne pou­vons pro­pos­er d’explication probante. Hypothèse chronologique : dans une édi­tion ultérieure (il y en a eu cinq en tout) de DPaf,Pohren a pu repren­dre et remanier le traité de George sur la gui­tare, lui-même forte­ment inspiré par le Pohren de 1962. Le con­traire man­querait de logique et poserait un sérieux prob­lème, dont on ne trou­ve pas trace. Le débat reste ouvert. Il ne sem­ble pas qu’il y ait jamais eu le moin­dre con­flit entre DG et DP à ce sujet.

Donn E. Pohren :A Way of Life, Madrid, Soci­ety of Span­ish Stud­ies, 1979/ West­port, Con­necti­cut, The Bold Strum­mer, 1999. (Histoire(s) de La Fin­ca Espartero.) (DPwl)

Donn E. Pohren :Paco de Lucía and Fam­i­ly: the mas­ter plan, Madrid, Soci­ety of Span­ish Stud­ies, 1992. Page 64: Mano­li­to et Diego del Gas­tor chez Pohren à Madrid, avant Morón(([1]Il y a un écho de ce pas­sage, cor­roboré par quelques pho­togra­phies, dans les son­nets 184–188.

.

En ligne uniquement :

www.dreamagic.com/poetry/pelta.html: ‘Ele­gy for David George Vogenitz’.

En espagnol

Mau­ror#17, 1° semes­tre 2006, Deux com­mu­ni­ca­tions, pages 127–133 et 148–149.

En ligne :

 La Nue­va Alboreá.

http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=la%20nueva%20alborea&source=web&cd=3&sqi=2&ved=0CDoQFjAC&url=http%3A%2F%2Fwww.juntadeandaluci
a.es%2Fcultura%2Fweb%2Fareas%2Fflamenco%2Fsites%2Fconsejeria%2Fareas%2Fflamenco%2Fcontenidos%2FDestacados%2FLa_nueva_Alboreax_revista_d
e_la_Agencia_Andaluza_p_29760&ei=yVgqT9WCGYXChAeP-5HKCg&usg=
AFQjCNEb73j-1F1VYN0AWVQXtLj-grL7og&sig2=xvZDaJzshfI2Roa9vZodDw

 

El Arte de Vivir El Fla­men­co.

http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=el%20arte%20de%20vivir%20el%20flamenco&source=web&cd
=1&ved=0CCMQFjAA&url=http%3A%2F%2Fwww.elartedevivirelflamenco.com%2F&ei=H7IrT7qOGYehOp-23JoO&usg=AF
QjCNENWJkg-YtXiKJHJXGFDP2O_ZeqkA&sig2=fi3W3xxqREjHP_XUvl2AJA

Quelques com­mu­ni­ca­tions à l’occasion du cen­te­naire de la nais­sance de Diego del Gas­tor (2008) ; divers­es notices sur des sites de fla­men­co ; un entre­tien avec la fille de Joaquín el de la Paula: Rey de la soleá, par Manuel Martín Martín (1983).

 

En français 

David George : poèmes traduits, dans Europe#966, octo­bre 2009 ; Le Fris­son Esthé­tique#8, novem­bre 2009, #12, jan­vi­er 2012, #13, été 2012 ; Tem­porel 12, octo­bre 2011 (en ligne) ; Peut-être, #3, 2012 ; Europe#1005–1006, jan­vi­er-févri­er 2013 ; Tem­porel 15, avril 2013 ; Le Fris­son Esthé­tique#12, 13, 14 2012–2013. Tra­duc­tion Jean Migrenne.

J.P. Clébert :Les Tzi­ganes,Paris, Arthaud, 1961.

 

En anglais-espag­nol

The Fla­men­co Project, Una ven­tana a la visión extran­jera, 1960–1985. Ouvrage col­lec­tif sous la direc­tion de Steve Kahn : Séville, Caja­sol, 2010. (SKfp)

 

Instal­la­tion Pho­tos – Fla­men­co Project – SEVILLA.

 Fla­men­co Project Images and Pho­tos (Gallery).

L’ensemble de l’exposition est main­tenant déposé à Morόn de la Fron­tera, à la Fon­da­tion Fer­nan­do Vil­lalón. Une par­tie a été présen­tée à Nîmes à l’occasion du fes­ti­val 2014.

En com­plé­ment au texte du livre :

https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=2&cad=rja&ved=0CDkQFjAB&url=http%3A%2F%2Fwww.flamencopr
oject.com%2Farticles_e.html&ei=5GXOUoWsFcnG0QWgkYDwCQ&usg=AFQjCNFbA6QZl_PB22UCbTk5KFsFo1rIug

 

Aux U.S.A.

A Por­trait of Andalu­sia : Expo­si­tion de clichés de David George, San Fran­cis­co, 2008.

 

*

 

LE CADRE ET L’AMBIANCE

Wash­ing­ton Irv­ing: Tales of the Alham­bra, 1832. Ain­si que le livre-guide édité en français (et autres langues) par la Jun­ta de Andalucía : La Route de Wash­ing­ton Irv­ing – Itinéraire cul­turel Européen, 2000.

George Bor­row (1803–1881) : The Bible in Spain, 1843. (en par­ti­c­uli­er les chapitres 9, 10, 12, 15, 16, 17) ; et, éventuelle­ment : The Zin­cali, 1841, Romany Rye, 1857.

José María Gutiér­rez de Alba : La Tapa­da,Nov­ela tradi­cional, Séville, 1846.

Fed­eri­co Gar­cía Lor­ca: Romancero Gitano, 1928.

–––––––––––––––––– : Poe­ma del Cante Jon­do, 1931.

––––––––––––––––––: Llan­to por Igna­cio Sánchez Mejias, 1935.

Manuel Álvarez López : Romances de Andalu­cia, Ser­vi­cio Munic­i­pal de Pub­li­ca­ciones de Alcalá de Guadaíra, 1973–1983.

Juan Fer­nán­dez Lacom­ba : La Escuela de Alcalá de Guadaíra 1800–1936 y el paisajis­mo sevil­lano, Alcalá de Guadaíra, 2002–2005.

Manuel Ríos Var­gas : Fes­ti­vales Fla­men­cos « Joaquín el de la Paula », Alcalá de Guadaíra, 2003. (MRVff)

Fran­cis Wollf : L’appel de Séville, Vau­vert, Au dia­ble Vau­vert, 2011.

 David Fauquem­berg : Manuel El Negro, Fayard, Paris, 2013.

 

*

 

VOIR

 Fran­cis­co Rovi­ra Bele­ta : Los Taran­tos, (1963). Chant du cygne de Car­men Amaya. Début d’Antonio Gades.

 Car­los Saura: Fla­men­co, (1995). Tourné dans l’ancienne gare de Cor­doue à Séville. El Far­ru­co y fait son numéro en com­pag­nie de son petit-fils, Far­ruquito. D’autres grands noms se pro­duisent, dont Choco­late, Paco de Lucía, Tomati­to et la Fer­nan­da de Utrera.

––––––––––– :Fla­men­co Fla­men­co, (2010) reprend le flam­beau et témoigne de l’évolution du genre. Far­ruquito et Paco de Lucía y figurent.

Tony Gatlif : Ven­go, (2000).

 

*

 

ÉCOUTER

 Out­re les YouTube ® et autres ban­des son ou vidéos en ligne, sig­nalées ici ou non, et à défaut du con­tenu des ban­des non exploitées actuelle­ment en pos­ses­sion des ayants droit de David George et de Donn Pohren ou aux mains d’autres anciens de Morón :

Alcalá de Guadaíra en la His­to­ria del Fla­men­co. 2 CD : MARITA 10 A114, disponibles en Espagne. Col­lec­tion d’enregistrements avec textes, à par­tir d’archives privées inédites. Indis­pens­able. Nous avons intro­duit dans cet ouvrage quelques-unes des pièces chan­tées ou réc­itées qui y figurent.

Canal Sur Fla­men­co Radio.

 

*

LE BLOG

http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=casa%20pepe%20moron&source=web&cd=14&ved=0CD
UQFjADOAo&url=http%3A%2F%2Fpinchosdelciego.blogspot.com%2F2009%2F06%2Fpersonal-journey-
2.html&ei=FAHfTu_nA8GXhQfDrMSBBQ&usg=AFQjCNGCaacovdE3iXFPkXxXaCgjLVAUJQ&sig2=BWHnWLPYQGlHrLyKh6iVFQ

 

*

 

WHO IS WHO SÉLECTIF

Les « El Gordo-La Paula », des Alcores :

El Gor­do, (José Fer­nán­dez Tor­res), à l’origine du genre dit Soleá de Alcalá, époux de La Paula (Paula Fran­co) qui aurait fig­uré aux côtés de Car­men Amaya. Huit enfants. Oncle de La Roez­na. Grand-oncle de Juan Barcelona, (1906 – 1974)can­taor, fils de La Roezna.

 

*

 

Ont mar­qué l’histoire du cante jon­do d’Alcalá : Leur troisième fils : Joaquín el de la Paula(Joaquín Fer­nán­dez Fran­co), El Rey de la Soleá, 12 02 1875 – 10 06 1933, oncle de Mano­li­to et de Juan Tale­ga, d’Alcalá de Guadaíra. Il n’y a pas, à ma con­nais­sance d’enregistrement de sa voix actuelle­ment disponible. Un de ses fils, Enrique, a créé la sae­ta d’Alcalá 5[1]Le courant ne devait pas bien pass­er entre cousins et voisins : voir son­net 29. Voir aus­si, pour l’appréciation artis­tique le dernier alinéa du qua­trième lien.

.

http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=38glASxrdk4

http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=_d_dtvYda0M

http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=RgVPmBCrhvw

http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=la%20roezna&source=web&cd=6&ved=0CFEQFjAF&url=http%3A%
2F%2Fwww.elartedevivirelflamen
co.com%2Fhistorias21.html&ei=ISNwT6e9LKeu0QWtvLiNAg&usg=AFQjC
NGYxzybb139s8mSw57rPkjZ6_UJ2A&sig2=XLq-gdTcHX7F1qIrTzwhlg

Leur petit-fils (fils d’Agustín, l’aîné) :Juan Tale­ga(Juan Agustín Fer­nán­dez Var­gas) 1891–1971, de Dos Hermanas.

http://www.google.fr/url?sa=t&source=web&cd=1&sqi=2&ved=0CCgQFjAA&url=http%3A
%2F%2Fwww.juantalega.com%2F&ei=brxhTtuIFYaa-wbw4tybCg&usg=AFQjCNFkNFg7mN5HlWax11iPxqkS6zo1Yw

Leur petit-fils (fils de José, époux de Maria Cruz ‘La Fragua’, sœur du père d’Anto­nio Maire­na) :Mano­li­to el de María (Manuel Fer­nán­dez Cruz), 14 07 1904 – 25 10 1966.

http://www.google.fr/url?sa=t&source=web&cd=6&ved=0CEoQFjAF&u
rl=http%3A%2F%2Fwww.elartedevivirelflamenco.com%2Fcantaores130.html&ei=BAflTZDHLIOz
hAe0x5jzBw&usg=AFQjCNFAUNz1v74xn-bP26iK_VKYYjMUdA

http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=Jy6ID_ZHox4

Le cousin Anto­nio Maire­na (Anto­nio Cruz Gar­cía), 07 09 1909 – 05 09 1983, de Maire­na del Alcor. Seigneur et maître de tous les gen­res. Clef d’Or en 1965. Grand théoricien autant que prati­cien et vul­gar­isa­teur, a don­né au fla­men­co puro 6[1]Voir Soleáet Fes­ti­vals. ses let­tres de noblesse nationales et inter­na­tionales. Le seul à avoir réelle­ment écrit et enregistré.

http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=reKYUMC4rMg

 

*

Les « cousins » Flo­res, Amaya et Mon­toya Diego del Gas­tor (Diego Flo­res Amaya) 15 03 1908 – 07 07 1973.  Le gui­tariste de Morón. Génie hors com­merce à l’état pur. Son art et son nom sur­vivent dans ses neveux et petits-neveux.

http://www.flamencoweb.fr/spip/spip.php?article94

http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=marita%20mtcd%2010%20a%20114&source=web&cd=2&ved=0CCcQ
FjAB&url=http%3A%2F%2Fwww.flamencoweb.fr%2Fspip%2Fspip.php%3Farticle117&ei=87WiTqCtNJDasgawg9mJAw&usg=
AFQjCNGQGfmDv7dqqOQ_in1rajX3K2YdHw&sig2=WbKz04Mw9imx_UReoFH54A

http://www.google.fr/url?sa=t&source=web&cd=16&ved=0CEUQFjAFOAo&url=http%
3A%2F%2Fwww.gypsyflamenco.com%2Fdiego.html&ei=hMcVTpDVHcnOswa4ruivDw&usg=AFQjCNH
tHi9U-CGSUp1gNwaWLWCGC8vxtQ

http://www.youtube.com/watch?v=Ti0AvRnVIms&feature=player_detailpage

 

Lola Flo­res(María Dolores Flo­res Ruiz) 21 01 1923 – 16 05 1995. La faraó­nade Jerez. Un grand-père Gitan. Homonyme.

http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=lola%20flores&source=web&cd=1&ved=0CDgQtwIwAA&url=http%3A%2F%2F
www.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3D6dCJDk_e1iw&ei=L0IuTC6FMml0QWnv_CsCA&usg=AFQjCNGLFFkv5D
xA9AlpZuQvGh_WtxzFmg&sig2=Da-snSVKk-ciGdjHGs5Khg

http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=Lto14yDe5XA

https://www.youtube.com/watch?v=MQxcIwi4Pvg

El Far­ru­co (Anto­nio Mon­toya Flo­res) 1935 – 1997. De Madrid. Phénomène de la danse. Ses descen­dants et sa famille per­pétuent son nom et son art au plus haut niveau.

http://www.google.fr/url?sa=t&source=web&cd=12&sqi=2&ved=0CEsQFjAL&url=http%3A%2F
%2Fwww.andalucia.com%2Fflamenco%2Fdancers%2Ffarruco.htm&ei=a‑72TYOYM4mmhAeu0NS
nDA&usg=AFQjCNEIwxxQetQwxuUim_L4BzrL6hEssg

 

*

La danse hier

Car­men Amaya 02 111913 – 19 11 1963. Iné­gal­able. Avec ou sans castagnettes.

http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=GP3Gho5qe4Y

http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=EwVODokMJYo

 

La danse aujourd’hui

Cristi­na Hoyos (Cristi­na Hoyos Panadero) 13 06 1946. Créa­trice du Museo del Baile Fla­men­coà Séville. Voir notam­ment  Bodas de San­gre(1981) et Car­men (1983) de Car­los Saura.

 

*

Les extranjeros d’hier

 John Ful­ton, 1933 – 1998. Améri­cain, pein­tre et matador.

http://www.google.fr/url?sa=t&source=web&cd=1&sqi=2&ved=0CCEQFjAA&url=http%3A%2F%2Ffr.w
ikipedia.org%2Fwiki%2FJohn_Fulton_(torero)&ei=tO_2TabKKISChQev2aWFDA&usg=AFQjCNFDrdup4X5iSjh-227H_CzhHwJvTg

Donn Pohren, 1929 – 2007. Améri­cain, gui­tariste, mécène du tablao Los Gabrieles, à Madrid (1964), puis de la Fin­ca Esparteroà Morón (1965/6 – 1973/6).

http://antonicuevas.blogspot.com/2011/09/el-efecto-pohren-por-estela-zatania.html

Steve Kahn   1943 – 2018. Guitariste et photographe américain.

https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwiToc244NnWAh
XFCsAKHQ0BBnYQFggpMAA&url=http%3A%2F%2Fwww.flamencoproject.com%2F&usg=AOvVaw3oRpsyb0b03M7GRhxME41Q

http://www.foroflamenco.com/fb.asp?m=310894

George Krause. Photographe américain.

https://georgekrause.com/

 

*

 

et d’aujourd’hui

Jean Migrenne. Traducteur

 

 

***

 

 

 

 

 

Le monument d’Alcalá

Joachim de la Paula

Bernar­do de los Lobitos

Anto­nio Mairena

Juan Tale­ga

image_pdfimage_print

Jean Migrenne

Régulière­ment pub­lié dans Siè­cle 21EuropeLe Fris­son Esthé­tique,Peut-être et (en ligne) Tem­porelRecours au poème, Jean Migrenne a récem­ment fait éditer l’essentiel de l’œuvre poé­tique de Richard Wilbur ; la tra­duc­tion française com­men­tée de la Démonolo­gie de Jacques Stu­art, Roi d’Écosse et d’Angleterre, accom­pa­g­née des Nou­velles d’Écosse rela­tant une affaire de sor­cel­lerie (1590) qui inspi­ra Shake­speare ; la pre­mière tra­duc­tion française de The Dis­cov­ery of Witch­craft, de Regi­nald Scot, 1584, édi­tion cri­tique en col­lab­o­ra­tion avec Pierre Kap­i­ta­ni­ak. Il pré­pare actuelle­ment, tou­jours en col­lab­o­ra­tion et dans la lignée des précé­dents, la tra­duc­tion et l’édition cri­tique de la trilo­gie infer­nale de Daniel Defoe (Diable/Magie/Revenants) ain­si que la tra­duc­tion de la biogra­phie de Sir Wal­ter Ralegh par William Oldys (1736). Ouvrages inédits en français.

 

 

 

Notes[+]